Dans ce post ainsi que le suivant, je vous propose d’illustrer avec des exemples concrets cette idée de payer le prix du SUCCES ou de l’ECHEC (voir post Le prix à payer).
Commençons par le moins réjouissant : le prix de l’échec.
Le bon vieux plat bien dégoûtant dont on se passerait bien…
Vous payer le prix de l’échec quand vous n’osez pas :
– Clarifier une situation dans votre sphère professionnelle, amicale, sentimentale, familiale, par peur d’être rejetée, non comprise, de pas obtenir gain de cause, de confronter l’autre
– Mettre fin à une relation qui ne vous nourrit plus, dans laquelle vous ne vous y retrouvez plus
– Dire ce à quoi vous aspirez profondément dans votre sphère sentimentale, quitte à paraître bizarre
– Exposer votre vulnérabilité aux autres
– Dire NON quand vous étiez habituée à dire toujours OUI
– Etre infidèle à votre ancienne « vous »
– Prendre du temps pour vous, depuis le temps que vous en avez besoin, parce que vous mettez toujours les autres en priorité, et que votre santé physique, émotionnelle et mentale commence à en pâtir sérieusement
– …
Je vous propose maintenant un exercice d’application.
1) Dans quel domaine de vie, quelles situations concrètes, payez-vous le prix amer de ne pas oser bouger / changer ?
2) Restez un moment avec chacune pour ressentir le poids de ce prix à payer. Pas pour le plaisir de vous écraser le nez dedans, mais pour ressentir que la situation pourrait durer encore longtemps si vous ne changez pas les choses. Combien de temps êtes-vous encore prête à payer ce prix amer ?
3) Quelle(s) action(s) concrète(s) voulez-vous mettre en place pour changer cette réalité ? Quand ? Comment ?
Selon les situations, ce sera plus ou moins long, laborieux, douloureux, cela demandera peut être de se faire aider.
Il y a un prix à payer quoi qu’il en soit, souvenez-vous 🙂
4) Passez à l’action malgré l’inconfort, la peur, l’éventuelle maladresse…
5) Célébrez tous vos changements, mêmes infimes !
Cela demande du COURAGE d’oser faire différemment.