Nous avons parfois besoin de ralentir, de se poser pour recharger les batteries.
Quand on a survalorisé le fait de faire (des activités, des tâches ménagères, rendre service, s’occuper de qqch…), on peut facilement culpabiliser de ne rien faire.
Pourtant ces moments-là sont essentiels, même s’ils ne sont pas productifs.
Imaginez un téléphone que vous ne rechargeriez jamais… Il ne repartirait plus. Pour nous c’est un peu différent : nous avons des réserves. Sauf que nous tapons dedans chaque fois un peu plus.
Cette semaine, je m’autorise à ralentir. Les dernières semaines ont été intenses d’un point de vue professionnel.
Plein de super choses qui bougent, le projet Méta qui démarre avec @atelier_claire_b. J’ai beaucoup donné.
Time to rest now ! Mon corps me le dit. Et plutôt que de résister comme avant, j’essaye vraiment de l’écouter et de le respecter.
Nous avons chacun des rythmes différents. Certains se déchargent et se rechargent rapidement, pour d’autres c’est sur la base de plus grandes périodes.
La Meta m’a beaucoup appris là-dessus. À l’image de l’eau, je peux être en mode cascade qui déferle d’énergie pendant un mois, puis avoir besoin de me mettre en mode ruisseau qui coule très tranquillement, voire petit lac calme et tranquille qui ne bouge pas du tout.
Dans ces moments-la, je prévois des temps de repos (sieste à venir quand j’aurai terminé d’écrire ce post 😉) et des tâches qui me demandent moins d’énergie.
👉🏼 Et vous, comment vous sentez-vous en cette période ?
En mode plein d’énergie, prêt(e) à déplacer des montagnes ?
Plutôt fatigué(e), besoin de vous (re)poser ?
Sentez-vous que votre rythme fluctue rapidement ou de manière plus lente ?